Lapierre annonce ici un triangle arrière rigidifié à hauteur de 30% par rapport au modèle précédent, afin d’optimiser la transmission de puissance au pédalage. Des tubes à profil NACA (utilisé dans l’aéronautique) et un poste de pilotage ont été totalement intégrés afin de permettre un maximum d’efficacité et d’aérodynamisme. Le nom DRS exprime : Drag Reduction System. En effet, la trainée aérodynamique a aussi été réduite au maximum grâce au cadre, à la fourche, à la potence et au guidon conçus comme une et une seule pièce.
Un cadre construit autour des technologies carbone les plus perfectionnées : optimisation du moulage du carbone et de la solidité de la structure grâce à l’utilisation de vessies en latex et de mandrins en silicone
L'Aerostorm DRS possède un freinage plus précis et puissant, système de freinage central avant et arrière, qui s'intègre parfaitement à l'aérodynamisme du vélo. Côté poids, le modèle utilisé par les coureurs de l’équipe FDJ et notamment Thibaut Pinot, en taille M, pèse 8,1 kgs.
Comme déjà utilisé sur certains vélos de la gamme route (Lapierre Xelius SL 2016), la batterie du Shimano Di2 est placée au niveau du boitier de pédalier grâce à une spécificité brevetée par Lapierre : la TDT (Trap Door Technology). Cette technologie a le double avantage de faciliter la vie des mécaniciens et d’abaisser le centre de gravité avec un poids au plus près du sol.
Dossier : Shimano Di2 : Zoom sur la transmission électrique
Un passage de gaine optimal pour le freinage et l'aérodynamisme grâce au développement d'un guide et d'une butée spécifique, nécessaires au guidage du câble du frein arrière. Une position du pilote totalement ajustable : 3 longueurs de potences différentes (65 – 85 – 115mm) et une tige de selle permettant d’avancer ou de reculer la selle sur 10 cm de long.